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Boite de Tsédaka traditionnelle aspect pierres de Jérusalem

(Code: VIEJUIVE004)

Belle boite de Tsédaka ronde en bois marron avec plaque décorative en aspect de pierres de Jérusalem.
Ouverture facile au dos. 
Inscription en hébreu : « Tsédaka » (Charité)



Détails
. Dimensions : 16 cm 
. Matière : Bois satiné
. Coloris : Marron


Conte - Le pauvre et le riche
Le Rebbe raconta autrefois l'histoire de deux jeunes garçons vivant dans la même ville et liés par un profond sentiment d'amitié. Un jour, l'un d'eux s'aperçut que son ami s'était un peu écarté du droit chemin et avait agi malhonnêtement. Il se dit « C'est le simple fruit du hasard ». Mais plus tard, chose plus grave, il le vit commettre une véritable transgression. Il s'éloigna de lui et cessa dès lors de le fréquenter.
Des années passèrent. Lorsque tous deux cessèrent de vivre chez leur beau-père, l'auteur de la transgression commença à s'enrichir considérablement. Il fit fortune alors que le second s'appauvrit beaucoup; et les voies de l'E.ternel le laissaient insatisfait. En effet, il se disait en lui-même : « Je sais bien que cet homme a gravement fauté; pourquoi lui accorde-t-on un tel statut ? ».
Un jour, il vit un rassemblement d'hommes,, entendit du bruit, des pièces d'argent tinter, des billets se froisser; on brassait là une somme importante. Il s'approcha d'eux et ceux-ci lui dirent : « Ne touchez pas à cet argent ». Il appartenait en effet au riche en question, son ancien ami. Il leur répondit : « Le moment est venu de vous poser une question! » et il souhaita savoir pourquoi cet homme avait droit à la richesse alors qu'il avait vu de ses propres yeux commettre une transgression. On lui répondit : « Depuis le jour où vous avez tous deux quitté la table de votre beau-père, votre ami a prévu d'étudier la Torah; il a érigé cela en règle et pas un jour ne passe sans qu'il ne se livre à l'étude de tel ou tel chapitre. Vous par contre vous n'étudiez pas la Torah. Voila pourquoi votre ami est fortuné malgré la faute commise autrefois car 'Une transgression annule les Mitsvot, mais elle n'annule pas la Thora » (Sotah, 21). Les initiales des mots composant la phrase « Une transgression n'annule pas la Torah » forment le mot « maot (argent) ». (Sihot Haran, 137)
Source : « Sipourim, Méchalim Va'halomot » contes, allégories et rêves, Rabbi Na'hman de Breslev
59,00 €

Belle boite de Tsédaka ronde en bois marron avec plaque décorative en aspect de pierres de Jérusalem.
Ouverture facile au dos. 
Inscription en hébreu : « Tsédaka » (Charité)



Détails
. Dimensions : 16 cm 
. Matière : Bois satiné
. Coloris : Marron


Conte - Le pauvre et le riche
Le Rebbe raconta autrefois l'histoire de deux jeunes garçons vivant dans la même ville et liés par un profond sentiment d'amitié. Un jour, l'un d'eux s'aperçut que son ami s'était un peu écarté du droit chemin et avait agi malhonnêtement. Il se dit « C'est le simple fruit du hasard ». Mais plus tard, chose plus grave, il le vit commettre une véritable transgression. Il s'éloigna de lui et cessa dès lors de le fréquenter.
Des années passèrent. Lorsque tous deux cessèrent de vivre chez leur beau-père, l'auteur de la transgression commença à s'enrichir considérablement. Il fit fortune alors que le second s'appauvrit beaucoup; et les voies de l'E.ternel le laissaient insatisfait. En effet, il se disait en lui-même : « Je sais bien que cet homme a gravement fauté; pourquoi lui accorde-t-on un tel statut ? ».
Un jour, il vit un rassemblement d'hommes,, entendit du bruit, des pièces d'argent tinter, des billets se froisser; on brassait là une somme importante. Il s'approcha d'eux et ceux-ci lui dirent : « Ne touchez pas à cet argent ». Il appartenait en effet au riche en question, son ancien ami. Il leur répondit : « Le moment est venu de vous poser une question! » et il souhaita savoir pourquoi cet homme avait droit à la richesse alors qu'il avait vu de ses propres yeux commettre une transgression. On lui répondit : « Depuis le jour où vous avez tous deux quitté la table de votre beau-père, votre ami a prévu d'étudier la Torah; il a érigé cela en règle et pas un jour ne passe sans qu'il ne se livre à l'étude de tel ou tel chapitre. Vous par contre vous n'étudiez pas la Torah. Voila pourquoi votre ami est fortuné malgré la faute commise autrefois car 'Une transgression annule les Mitsvot, mais elle n'annule pas la Thora » (Sotah, 21). Les initiales des mots composant la phrase « Une transgression n'annule pas la Torah » forment le mot « maot (argent) ». (Sihot Haran, 137)
Source : « Sipourim, Méchalim Va'halomot » contes, allégories et rêves, Rabbi Na'hman de Breslev